Lauréats de la Super Expo-sciences Hydro-Québec 2022 et clubs étudiants universitaire

Voici les jeunes lauréats de la Super Expo-sciences Hydro-Québec 2022 ainsi que les clubs étudiants universitaires qui étaient présents au cocktail-exposition du 32e Gala des Prix Innovation pour présenter leurs projets aux participants.


LAURÉATS – SUPER EXPO-SCIENCES HYDRO-QUÉBEC 2022


Mariane Angers | école le Salésien, secondaire 5, Sherbrooke
Projet : L’O2r des Lacs

Invitée par

Le vieillissement des lacs (eutrophisation) augmente dû au réchauffement climatique. Pour contrer les effets négatifs de l’eutrophisation sur les lacs, il existe des méthodes d’oxygénation. Pour ce faire, j’ai utilisé le mouvement des vagues pour actionner le mécanisme. D’abord, j’ai conçu mon premier prototype nommé Houlo-Bubbles. Il s’agit d’un flotteur contenant une pompe injectant de l’oxygène lorsqu’une vague le frappe. Pour vérifier l’étanchéité et le potentiel de cette conception, j’ai utilisé un Houlo-Gen : une machine recréant le mouvement des vagues en laboratoire. Ensuite, j’ai réalisé des tests en utilisant le principe de déplacement d’eau dans le but de découvrir le débit d’oxygène dégagé. Puis, j’ai réalisé d’autres tests avec un diffuseur fragmentant les bulles d’oxygène pour les diffuser dans l’eau. Finalement, j’ai mesuré l’oxygène dissous comme mesure de performance et j’ai découvert que mes Houlo-Bubbles pourraient sauver les lacs si importants pour l’eau potable, l’environnement et les loisirs.

À propos de Mariane : Je m’appelle Mariane Angers et j’ai 16 ans. J’étudie la chimie, la physique et les maths SN en secondaire 5 à l’école le Salésien à Sherbrooke. Je suis passionnée par les sciences et particulièrement l’ingénierie. C’est donc dans ce domaine que se basent mes projets d’innovation d’Expo-Sciences. L’année prochaine, j’aimerais beaucoup m’inscrire au cégep pour étudier en sciences naturelles et ensuite pouvoir me diriger en génie mécanique à l’université. Pendant mes études, j’adorerais continuer d’inventer des prototypes pour améliorer mon environnement et rendre le monde meilleur comme avec mes conceptions lors des Expo-Sciences.


Salma Maslouhi | Collège Mont Notre-Dame, secondaire 4, Sherbrooke
Projet : Le coeur artificiel

Invitée par

Je me suis intéressée à l’étude des méthodes développées pour créer des cœurs artificiels. Mon projet introduit notamment de nouvelles méthodes de recherche novatrices utilisant la technologie de fabrication par impression 3D afin de mettre en forme un cœur bioartificiel en utilisant principalement les tissus biologiques du patient. Cette technologie est actuellement au stade de développement dans les laboratoires de recherche. Afin de réaliser un prototype solide expérimental, j’ai utilisé l’impression 3D pour mettre en forme un cœur en polymère grâce à la collaboration d’un technicien de l’Université de Sherbrooke. Cette expérience m’a permis de me familiariser avec la conception numérique du modèle du cœur et avec les appareils de fabrication additive des objets.

À propos de Salma : J’entreprends poursuivre mes recherches sur le cœur artificiel, car le domaine de la santé m’intéresse beaucoup. De plus, je m’intéresse énormément aux technologies innovatrices nous permettant d’avancer, de découvrir des choses et d’aider les gens. Dans ma future carrière, j’aimerais notamment poursuivre mes recherches dans le but premier d’aider les gens autour de moi et partout dans le monde.


Harry-Vincent Miko | Collège Saint-Sacrement, secondaire 2, Rive-Nord
Projet : L’optique et les neurosciences

La vision est un sens essentiel puisqu’elle nous permet de percevoir et d’interpréter le monde qui nous entoure. Les problèmes reliés aux yeux sont communs. Ce projet permet de nous éclairer un peu plus sur l’œil, son fonctionnement et ses troubles, comme la myopie par exemple. J’aborderai donc la physiologie de l’œil et certains aspects qui y sont liés, comme les aspects cognitifs et la neuroscience. Finalement, comprendre les différentes failles du cerveau et de l’œil serait une excellente façon de mieux saisir comment les magiciens et les illusionnistes réussissent à nous émerveiller à chaque fois.

À propos d’Harry-Vincent : Plus tard, j’aimerais être neurologue ou neuroscientifique, en recherche. La raison qui me pousse à faire cette profession est que j’ai toujours été fasciné par les tours de magie et d’illusion. La meilleure façon à mon avis d’expliquer cette manière de berner le cerveau, de le tromper, c’est à travers les sciences, entre autres celles du cerveau.


Morane Charbonneau | Collège Champlain, secondaire 5, Lennoxville
Projet : I-Muno

Invitée par

Mon projet consiste en la création d’une application mobile pour venir en aide aux personnes atteintes d’une maladie auto-immune. Ce type de maladie varie énormément et n’est jamais constant. Mon application encadre les gens au quotidien en leur permettant de suivre leurs symptômes ainsi que leurs habitudes de vie (ex : alimentation, sommeil, etc.). De cette façon, les utilisateurs établissent des liens entre ces facteurs. Ils peuvent ensuite modifier certaines de leurs habitudes pour diminuer leurs symptômes. Avec ce projet, je cherche à rendre plus agréable la vie de ces personnes sachant que les maladies auto-immunes sont difficiles à gérer.

À propos de Morane : J’ai des intérêts et je suis active dans de multiples domaines (scientifiques, artistique, entrepreneurial, sportif). Tout Project peut me stimuler à tout moment. Pour l’instant, je demeure en exploration constante et laisse toutes les portes ouvertes.


Marion Harvey | École secondaire de l’Odyssée, secondaire 1, Saguenay-Lac-Saint-Jean
Projet : Soulever à la force des fibres

Mon projet s’intéresse à la fonction des muscles et leurs structures. Plus particulièrement, il documente une maladie présente au Québec affectant la coordination musculaire, l’Ataxie récessive spastique de Charlevoix-Saguenay. Par la suite, je présente mon expérimentation consistant à comparer des coupes musculaires de patients atteints de l’ARSC et d’autres contrôles. Je présente les résultats obtenus et ce qu’ils veulent dire ainsi que des solutions pouvant remédier aux problèmes des patients.

À propos de Marion : Plus tard, j’espère pouvoir continuer mes études en sciences car faire mes projets d’Expo-sciences et entrer dans le monde de la recherche me passionne énormément. Plus précisément, en biologie car c’est l’aspect en science m’intéresse le plus.


Séréna Harvey | École secondaire de l’Odyssée, secondaire 5, Saguenay-Lac-Saint-Jean
Projet : Bactéries pour souper !

Invitée par

Suite à ma découverte d’une dysbiose dans la composition du microbiote intestinal chez des patients atteints de dystrophie myotonique de type 1, j’ai construit une intervention nutritionnelle à domicile visant l’amélioration de la composition du microbiote intestinal et éventuellement la réduction de leurs symptômes gastro-intestinaux. Cette population ayant de nombreuses atteintes les empêchant de participer à une étude régulière, j’ai pu analyser la faisabilité et l’acceptabilité de ce type d’intervention. Étant limité dans le temps, je n’ai pas pu percevoir de changements significatifs dans la composition du microbiote ou dans l’amélioration de leurs symptômes gastro-intestinaux. Cependant, il m’a été possible de démontrer qu’une intervention nutritionnelle est un traitement possible en DM1.

À propos de Séréna : J’ai présentement 16 ans et je suis en secondaire 5. Je participe à l’Expo-Sciences depuis ma 5e année où j’ai gagné plusieurs prix tout au long de mon parcours dont la Super Expo-Sciences en 2022. Je vais probablement en science nature au cegep de Jonquière en tant qu’athlète dans la division 1 en volleyball.


Rosalie Fillion | École secondaire Grande-Rivière, secondaire 4, Gatineau
Projet : UN DÉFI SURMONTABLE : VÉGÉTALIEN

Depuis les dernières années, les diètes environnementales sont de plus en plus pratiquées. Celles-ci ont entre autres pour but de diminuer la consommation de viande. Ayant toutes les deux la protection de l’environnement à cœur et un plaisir à cuisiner, nous nous sommes intéressées au végétalisme, une de ces diètes éliminant tout aliment d’origine animale. Cependant, comme toute diète, le végétalisme comporte certains risques de carences en nutriments importants à prendre en considération. Nous avons décidé de nous intéresser à cette problématique de risques pour la santé et d’y trouver une solution : la conception d’un livre de recettes végétaliennes diminuant scientifiquement les risques de carences. Notre projet permet de promouvoir l’alimentation saine, encourage la diminution de la consommation de viande, rend plus accessible la diète végétalienne et sensibilise sur les risques de carences dans certaines diètes. Consultez ce lien pour accéder à notre conception : https://sites.google.com/view/livrerecettesvegetaliennes/accueil

À propos de Rosalie : N’étant encore qu’une élève de quatrième secondaire, je n’ai pas encore déterminé la carrière que j’aimerais pratiquer. Cependant, j’ai certaines pistes de domaines dans lesquels j’aimerais étudier, entre autres la biologie, la science de la santé, l’entreprenariat et le journalisme (scientifique et d’actualité). Je compte poursuivre mes études au Cégep, puis à l’université.


Olivia Hasbani | École secondaire Grande-Rivière, secondaire 4, Gatineau
Projet : UN DÉFI SURMONTABLE : VÉGÉTALIEN

Depuis les dernières années, les diètes environnementales sont de plus en plus pratiquées. Celles-ci ont entre autres pour but de diminuer la consommation de viande. Ayant toutes les deux la protection de l’environnement à cœur et un plaisir à cuisiner, nous nous sommes intéressées au végétalisme, une de ces diètes éliminant tout aliment d’origine animale. Cependant, comme toute diète, le végétalisme comporte certains risques de carences en nutriments importants à prendre en considération. Nous avons décidé de nous intéresser à cette problématique de risques pour la santé et d’y trouver une solution : la conception d’un livre de recettes végétaliennes diminuant scientifiquement les risques de carences. Notre projet permet de promouvoir l’alimentation saine, encourage la diminution de la consommation de viande, rend plus accessible la diète végétalienne et sensibilise sur les risques de carences dans certaines diètes. Consultez ce lien pour accéder à notre conception : https://sites.google.com/view/livrerecettesvegetaliennes/accueil

À propos de Olivia :Puisque je suis seulement en secondaire 4, je ne sais pas encore précisément quelle carrière j’aimerais faire plus tard. Cependant, je sais que je veux continuer mes études au cégep et à l’université. De plus, présentement, les domaines de la biologie et de la communication m’intéressent grandement, donc je compte peut-être aller étudier dans ceux-ci.


Julia Lam | École d’éducation internationale, secondaire 4, Montérégie
Projet : Le virus – Un allié insoupçonné

Aussi surprenant que cela puisse paraître, les virus pourraient être nos alliés pour traiter le cancer. Mon projet vise la compréhension de la virothérapie oncolytique, qui exploite les capacités des virus à détruire les tumeurs cancéreuses et à déclencher des réponses immunitaires chez des patients atteints de cancer. Avec le développement du génie génétique, des virus oncolytiques correspondant de mieux en mieux aux besoins médicaux sont créés. Il n’est pas sans compter que la virothérapie oncolytique pourrait être utilisée en combinaison avec d’autres thérapies pour aider des patients à mieux combattre le cancer.

À propos de Julia :  Médecin-spécialiste ! Depuis que je suis toute petite, j’accorde à la science un intérêt marqué, plus particulièrement aux sciences de la santé. Il me surprend toujours comment des chercheurs et des médecins parviennent à décoder les secrets du corps humain pour que notre monde en profite. Mon projet a davantage avivé mon envie de devenir médecin spécialiste. J’espère ainsi entrer en contact avec des patients et les aider tout en participant activement à l’avancement des thérapies.


Mihaela Ilutra | Collège Jean-Eudes, secondaire 4, Montréal
Projet : Oh la vache !

La dysbiose, un déséquilibre des populations de microorganismes du microbiote intestinal, est un fléau ayant une forte incidence sur maintes maladies, notamment la dépression et l’obésité. Notre expérimentation visait le rétablissement de l’équilibre de la flore intestinale par la stimulation de la croissance de Bifidobacterium longum et Bifidobacterium adolescentis par le biais des oligosaccharides issus de lait de bovin. L’efficacité de ce sucre a été analysée en comparaison à celle des oligosaccharides de lait maternel. Les oligosaccharides bovins offrent une alternative prometteuse à leur équivalent humain, car ces derniers sont difficiles d’accès et ainsi impropres à une utilisation de grande échelle. Les conclusions positives de notre expérimentation sont extrêmement encourageantes quant à l’application future des BMO relativement à la dysbiose, et nous travaillons présentement sur les prochaines étapes de ce projet.

À propos de Mihaela : Je souhaite poursuivre ma formation académique par le biais d’études universitaires dans le domaine des sciences de la santé et du droit. Il est également dans mes plans de poursuivre les expérimentations sur lesquelles nous nous sommes lancés, mon partenaire et moi, afin d’en développer pleinement le potentiel. À terme, j’espère avoir un impact positif sur mon champ d’expertise, mais par-dessus tout, voir cet impact se concrétiser en mesures tangibles afin d’améliorer la vie de tous ceux pouvant en bénéficier.


Tahar Chaouch Akram | Collège Jean-Eudes, secondaire 4, Montréal
Projet : Oh la vache !

La dysbiose, un déséquilibre des populations de microorganismes du microbiote intestinal, est un fléau ayant une forte incidence sur maintes maladies, notamment la dépression et l’obésité. Notre expérimentation visait le rétablissement de l’équilibre de la flore intestinale par la stimulation de la croissance de Bifidobacterium longum et Bifidobacterium adolescentis par le biais des oligosaccharides issus de lait de bovin. L’efficacité de ce sucre a été analysée en comparaison à celle des oligosaccharides de lait maternel. Les oligosaccharides bovins offrent une alternative prometteuse à leur équivalent humain, car ces derniers sont difficiles d’accès et ainsi impropres à une utilisation de grande échelle. Les conclusions positives de notre expérimentation sont extrêmement encourageantes quant à l’application future des BMO relativement à la dysbiose, et nous travaillons présentement sur les prochaines étapes de ce projet.

À propos de Tahar : Concernant mes projets futurs, j’aspire à une formation à l’université en neurosciences et en médecine. J’aimerais entreprendre ce parcours tout en continuant mes expérimentations afin d’obtenir mon doctorat et d’enseigner à l’université par la suite. J’ai l’intention de poursuivre la recherche scientifique tout au long de mes études non seulement à titre de passion personnelle, mais aussi en tant que projet d’avenir, notamment dans les domaines de la biotechnologie, l’oncologie et la microbiologie.


Florence Gagnon | Collège Notre-Dame de Rivière-du-Loup, secondaire 4, Est du Québec
Projet : Un de perdu, Dix de repoussés !

Vous est-il déjà arrivé de vous questionner sur la possibilité de régénérer une partie entière de notre corps au même titre que certains animaux ? C’est dans le contenu de notre expo science que nous avons éclairé cette interrogation. Découvrez avec nous des animaux capables de prouesses régénératives extraordinaires sur lesquels nous pouvons nous baser pour élucider ces mystères biologiques. En s’inspirant de ces organismes et de l’histoire de leur évolution, nous vous expliquons la compétence humaine face à la régénération extrême.

À propos de Florence : Principalement, mon projet de carrière consiste à m’enrichir en tant qu’humain. En effet, mon objectif est de développer mon intelligence en m’éduquant sur le monde qui m’entoure. Pour ce faire, j’ai comme plan de terminer mon programme en sciences de la nature au cégep et d’intégrer une université en biologie ou en médecine.


Alexia Morin | Collège Notre-Dame de Rivière-du-Loup, secondaire 4, Est du Québec
Projet : Un de perdu, Dix de repoussés !

Vous est-il déjà arrivé de vous questionner sur la possibilité de régénérer une partie entière de notre corps au même titre que certains animaux ? C’est dans le contenu de notre expo science que nous avons éclairé cette interrogation. Découvrez avec nous des animaux capables de prouesses régénératives extraordinaires sur lesquels nous pouvons nous baser pour élucider ces mystères biologiques. En s’inspirant de ces organismes et de l’histoire de leur évolution, nous vous expliquons la compétence humaine face à la régénération extrême.

À propos d’Alexia : Dans le futur, je veux m’accomplir dans le plus de domaines possibles, autant au niveau académique, social que personnel. En effet, j’aimerais offrir mon aide à l’international et surmonter des défis personnels. Je prévois de poursuivre mes études universitaires en médecine spécialisée.


Oumaima Malih | École d’éducation internationale de Laval, secondaire 5, Rive-Nord
Projet : Réglisse et la durée de vie

Invitée par 

La racine de réglisse est utilisée dans plusieurs cultures pour soulager les maux de ventre, dont la mienne. Ses propriétés m’ont inspirée à tester son effet sur les
symptômes du stress intestinal chez la Drosophila Melanogaster. Pour ce faire, j’ai évalué si la durée de vie et la motilité des drosophiles atteintes de stress intestinal oxydatif et osmotique sont améliorées grâce à la racine de réglisse. Les tests accomplis confirment que c’est le cas, sauf pour la motilité des drosophiles ayant un stress osmotique. D’ailleurs, j’ai choisi la drosophile comme modèle en raison de la surprenante similarité entre son système digestif et celui de l’humain. Les résultats obtenus sont prometteurs et pourraient ouvrir une nouvelle voie concernant l’utilisation de traitements traditionnels pour soulager les symptômes de maladies inflammatoires de l’intestin.

À propos de Oumaima : Bien que je ne sache pas exactement vers quelle carrière je me dirigerai, j’espère poursuivre mes études à l’université et éventuellement faire de la recherche dans le domaine scientifique qui me passionnera.


Kayla Salasidis | Herzliah High School, secondaire 4, Montréal
Projet : OR in focus

Invitée à titre de lauréate du Prix Jeune Innovateur par

L’objectif de ce projet est d’améliorer l’efficacité, la qualité et la précision des éclairages suspendus dans les blocs opératoires. Le projet consiste à mettre sur pied un éclairage à focalisation automatique pour gagner du temps et améliorer l’éclairage opératoire pendant la chirurgie. Pour ce faire, la conception utilise un capteur de distance mesurant la distance au site chirurgical et focalisant sa lumière une fois déplacée. Celui-ci communique ensuite avec plusieurs moteurs pas à pas pour régler la position de mise au point de la lampe.

À propos de Kayla : Je suis passionnée par les sciences et les arts. J’ai toujours été curieuse de savoir comment les choses fonctionnent. J’aime apprendre les mathématiques, la physique et la chimie. Mais j’adore aussi dessiner et peindre. Je suis convaincue que les arts et les sciences vont bien ensemble et que mes compétences artistiques complètent mon affinité pour les sciences. J’aime conceptualiser des idées et leur donner vie en art comme en sciences. L’expo-sciences m’a permis de faire exactement ça. J’ai appris de nouvelles compétences, comme la programmation et l’électronique, et j’ai créé un design innovatif, que j’ai pu présenter à de nombreuses foires aux côtés d’autres étudiants incroyables. Mes réussites de l’année dernière m’ont incité à participer de nouveau à l’expo-sciences de mon école secondaire, et j’espère passer à la compétition régionale une fois de plus et vous rendre tous fiers. Pour ce qui est de l’avenir, j’ai l’intention de continuer à étudier les sciences et je vais faire la demande pour un DEC en sciences pures et appliquées.  Ce que j’aspire être ?  Ingénieure, architecte… le temps nous le dira.


clubs étudiants universitaires


Rockéts | École de technologie supérieure
Représenté par rose marois, ingénierie

Invitée par

RockÉTS est un club scientifique de l’École de technologie supérieure qui conçoit, fabrique et lance des fusées-sondes à autre puissance. L’équipe est la plus décorée au Canada et a terminé en 1ère place à deux occasions cette année. RockÉTS a aussi lancé la première fusée expérimentale depuis le sol canadien en début août.

À propos de Rose : Suite à mes études en génie, je souhaiterais faire un MBA afin d’accéder à des postes de hautes gestion en entreprise. Je souhaite faire carrière dans le domaine de l’aérospatial et rendre plus accessible la fuséonautique au Canada. J’aimerais aussi inspirer des jeunes filles à entreprendre des études dans ce domaine.


EMUS | Université de Sherbrooke
Représenté par Jean Ombeni, Génie électrique

Invité par

L’équipe EMUS (Electric motorcycle of University Sherbrooke) est un groupe technique ambitieux et innovateur composé d’étudiants en génie travaillant sur la conception et la fabrication d’un motocycle de course 100 % électrique. Actif depuis 2010, l’équipe développe des solutions techniques appliquées au monde de l’électrification des transports. Tous les travaux de conception et d’assemblage sont effectués par des étudiants sous la supervision de professeurs de l’Université de Sherbrooke. En 2022, ils se sont fixé l’objectif de participer à la compétition MotoStudent 2023, dans laquelle plusieurs équipes universitaires du monde rivaliseront sur une immense piste de course en Espagne.

À propos de Jean :

  • Conception 3D à l’aide d’outils CAO comme SolidWorks pour plusieurs projets universitaire.
  • Contribuer au développement d’une application d’automatisation en tant que stagiaire au CHUS (Centre Hospitalier de l’Université de Sherbrooke) durant l’été 2020.
  • Effectuer un stage en étude de réseau électrique chez CIMA+ durant l’hiver 2022.
  • Présentement, stagiaire en électrification des transports au CTA à Sherbrooke.

OMER | École de technologie supérieure
Représenté par Nicolas Riopel, Génie Logiciel

Depuis 1990, le club Omer conçoit des sous-marins à propulsion humaine. Un sous-marin est dit « à propulsion humaine » lorsque sa seule source d’énergie provient de l’effort physique du ou des pilotes. Il est donc, par définition, interdit d’utiliser un quelconque système pour accumuler ou générer de l’énergie. L’habitacle n’étant pas étanche, les occupants du sous-marin utilisent des équipements de plongée sous-marine.

À propos de Nicolas : Je souhaite innover ! Je suis un étudiant au baccalauréat de génie logiciel passionné par les possibilités et la diversité offertes par quelques lignes de codes. Mon parcours dans le club étudiant m’indique qu’une carrière vers ce qui porte sur des projets en lien avec les sciences maritimes m’intéresseraient.


Oronos | Polytechnique Montréal
Représenté par Israe Zakaria, Génie Aérospatial

La société technique Oronos est un groupe d’étudiant de Polytechnique Montréal dédié à la conception d’une fusée dans l’intention de participer à la compétition Spaceport America Cup, dont l’objectif est d’atteindre une altitude donnée avec le plus de précision possible en y transportant une masse de 10 lbs. Un tel projet nécessite le développement de technologies de pointe dans le domaine de l’astronautique.

L’équipe vise la participation à la compétition de juin 2023, située au Nouveau-Mexique. La société technique Oronos travaille actuellement avec rigueur à l’élaboration de ses prochaine fusées, préparées en vue de la compétition, en plus d’un moteur prototype. Il s’agit d’un engin de type hybride, c’est à dire employant un combustible solide et un comburant liquide, dans ce cas-ci du HTPB (hydroxyl-terminated butadiene) avec du N2O.

Les membres du groupe sont aussi animés par la vision de partager leur passion et leurs connaissances aux cours d’événements. Dans cet ordre d’idée, Oronos Polytechnique prend une part active à différents rassemblements comme le Salon Spatial Canadien, le Gala de l’ADRIQ, ou encore la Compétition Québecoise d’Ingénierie. En plus de permettre aux membres d’échanger avec le public, ces événements offrent une grande visibilité au projet et à ses partenaires.

À propos d’Israe : Je suis actuellement étudiante au baccalauréat en génie aérospatial. J’ai travaillé l’an passé dans le département de propulsion sur le développement du moteur hybride 30K. Cette année, je suis directrice du département Payload. Nous travaillons sur le développement de l’expérience embarquée dans la fusée pour profiter des conditions d’accélération de la fusée. J’ai effectué cet été un stage de recherche à Polytechnique sur les moteurs d’avions de prochaine génération à injection de couche limite. Cette année je mène des activités de recherche à temps partiel en combustion hypergolique dans le département de génie mécanique. Je compte poursuivre une carrière en recherche, en l’occurrence en propulsion liquide ou interstellaire de fusée.


Projet Esteban, Voiture solaire | Polytechnique Montréal
Représenté par Henri Larocque, Génie logiciel

Le projet Esteban est une société technique regroupant une quarantaine d’étudiants de génies variés de Polytechnique Montréal. Son but : construire, à chaque deux ans, une voiture alimentée à l’énergie solaire. Les membres façonnent ce projet de A à Z à travers 3 équipes : l’équipe électrique, l’équipe mécanique et l’équipe affaires. Afin de tester les prototypes, l’équipe se mesure aux plus prestigieuses universités nord-américaines dans le cadre de compétitions aux États-Unis. Outre la production de prototypes de plus en plus performants, le but de cette société est de promouvoir l’utilisation des énergies renouvelables et mettre de l’avant la profession d’ingénieur.

À propos d’Henri : J’ai effectué mes études collégiales au Collège de Maisonneuve en Sciences Informatiques et Mathématiques, puis je suis présentement en train de poursuivre un Baccalauréat en Génie Logiciel à Polytechnique Montréal, tout en portant le titre de Codirecteur Électrique dans le projet Esteban. Après mes études universitaires, je souhaite trouver un emploi dans le domaine de l’intelligence artificielle ou du véhicule électrique.


Archimède | Polytechnique Montréal
Représenté Par Sara Sanane, Génie Mécanique

Archimède est une société technique de Polytechnique Montréal qui a été fondée en 1998 et qui regroupe des étudiants de différents domaines du génie. Son projet principal est de développer un sous-marin à propulsion humaine dans le but de participer à des compétitions internationales de sous-marins. Ainsi, des projets en propulsion, conception électrique et mécanique sont menés chaque année afin d’améliorer les performances de l’équipe. L’esprit d’innovation fait partie de l’ADN d’Archimède. Toutes les idées d’amélioration sont les bienvenues, même les plus épicées !

À propos de Sara : Actuellement présidente de la société Archimède et étudiante au baccalauréat en génie mécanique à Polytechnique Montréal, je m’intéresse à la recherche de solutions innovantes afin de contribuer à un monde meilleur. J’ai un faible notamment pour la gestion de projets. Mon expérience dans le cheminement préparatoire des grandes écoles d’ingénierie françaises (option Mathématiques et Physique – MP*) m’a permis de développer un esprit critique et un raisonnement scientifique rigoureux. Je prévois effectuer une orientation en aéronautique en vue de donner des ailes à mon désir d’innover !


Rafale | École de technologie supérieure
Représenté par Karl-Philippe Bluteau, Génie Mécanique

Invité par

Rafale, anciennement connu sous le nom de Rafale Class-C, est un club étudiant naval de pointe. L’équipe conçoit et fabrique des voiliers de course en mettant de l’avant technologie, environnement et innovation, car il n’y a jamais de limite au progrès, même dans un domaine existant depuis plus de 10 000 ans. Notre ambition est de rivaliser avec des équipes expérimentées sur l’eau en construisant un voilier de classe « Moth » performant et écoresponsable afin de démontrer les fortes compétences de notre université et de faire rayonner le Québec et le Canada sur la scène internationale.

À propos de Karl-Philippe : Mon projet de carrière est de percer dans le monde de la course océanique à la voile afin d’être le premier québécois et le premier canadien à réaliser le Vendée Globe, en plus de promouvoir et développer la voile au Canada et au Québec. Le tout en continuant de développer ma carrière en ingénierie.


Formule ETS | École de technologie supérieure
Représenté par Simon Aubin-Lavoie, Génie de la construction

Formule ETS regroupe des étudiants passionnés de sport automobile. Nous sommes reconnus, depuis 1988, comme étant une équipe avant-gardiste repoussant les limites de l’ingénierie. Chaque année, nous concevons et fabriquons une voiture de course électrique en analysant le fonctionnement entre différents systèmes et leurs interactions entre eux.

Chaque voiture possède ses propres assemblages et projets afin de la rendre plus performante et fiable que ses prédécesseurs. Cependant, notre objectif reste toujours le même : remporter les compétitions étudiantes de Formule SAE en Amérique du Nord, une série d’événements de grande envergure organisée par la Society of Automotive Engineers, et Formula Student en Europe.

À propos de Simon : Je compte relever des défis d’ingénierie tout au long de ma carrière! Suite à mon parcours universitaire, j’ai l’intention de me pencher dans des enjeux fondamentaux tels que l’électrification des transports et les changements de paradigme de la mobilité urbaine.


Formule Polytechnique Montréal | polytechnique Montréal
Représenté par Paul Grosfils, Génie mécanique

Formule Polytechnique Montréal conçoit, fabrique et compétitionne avec un prototype de voiture de course électrique monoplace. Les étudiants et membres de l’équipe font le tout de A à Z, de la soudure du châssis, de la création de circuits imprimés sur mesure pour la gestion de la batterie, jusqu’à la conception et l’assemblage de la batterie haute tension alimentant son moteur électrique.

En juin dernier, l’équipe a remporté la première place à la compétition internationale Formula SAE Michigan parmi 55 équipes dans le volet électrique.

À propos de Paul : Directeur de Formule Polytechnique Montréal de 2019 à 2022. J’ai supervisé l’équipe de sa dernière année en catégorie moteur à combustion en 2020 jusqu’à sa 1e victoire en catégorie électrique en juin dernier.


S.O.N.I.A. | École de technologie supérieure
Représenté par Roxanne Parent Thibeault, Génie de la construction

Invitée par

S.O.N.I.A (Système d’Opération Nautique Intelligent et Autonome) est un club scientifique de l’École de Technologie Supérieure qui conçoit et fabrique des sous-marins autonomes depuis 23 ans. S.O.N.I.A a été fondé en 1999 et ses membres ont conçu un total de 8 sous-marins autonomes depuis. Le club est composé principalement d’étudiants de programmes en mécanique, en électrique, en production automatisée et en logiciel. Le principal objectif de S.O.N.I.A est de participer à l’événement annuel de Robosub à San Diego en Californie. Dans cette compétition, S.O.N.I.A doit réaliser plusieurs tâches complexes telles que l’identification d’obstacles, la prise et le dépôt d’objets, le suivi de signaux acoustiques, et ce, sans intervention humaine. Il est essentiel pour un AUV d’interagir avec son environnement. Pour ce faire, S.O.N.I.A. est équipé de capteurs et d’actionneurs. Ces dispositifs permettent la vision, la localisation à l’aide d’un sonar, le calcul de la distance et la position précise sous l’eau. Tous ces paramètres sont ensuite utilisés simultanément pour réaliser diverses tâches telles que l’identification d’un objet la prise d’objets ou le lancement de torpilles à un endroit précis. Présentement, S.O.N.I.A supporte deux prototypes (AUV7 and AUV8).

À propos de Roxanne : Je suis graduée au baccalauréat en génie de la construction. Je suis présentement en maîtrise en gestion des infrastructures urbaines. Après m’être impliquée dans divers clubs étudiants de mon école, j’ai découvert S.O.N.I.A au courant de l’année 2022. Suite à la compétition en juillet dernier, je me suis découvert une nouvelle passion pour la robotique et les systèmes comme S.O.N.I.A. Cet environnement multidisciplinaire est hyper stimulant.


Héka | Polytechnique Montréal
Représenté par Gabriel Rousseau, Génie mécanique

Invité par

HÉKA est une société technique de Polytechnique travaillant sur des problématiques liées au domaine biomédical et au milieu de la santé. Nous avons comme objectif de développer des solutions novatrices à des problèmes d’actualité pour faire une réelle différence dans la société. HÉKA se divise actuellement en deux projets, le premier étant la conception d’un exosquelette contrôlé par électromyographie (EMG) pour des patients atteints de dystrophie musculaire et le second étant la conception d’une douche automatisée pour les résidents en CHSLD. Ultimement, HÉKA cherche, grâce à ses projets, à devenir une référence en innovation technologique et sociale dans le domaine du génie biomédical.

À propos de Gabriel : Intéressé par de nombreux domaines du génie, j’ai pu découvrir une réelle passion pour l’innovation dans le domaine médical durant mon parcours universitaire et au sein de Héka. Ainsi, j’aimerais faire carrière dans un domaine ou je pourrai continuer de faire une différence dans la vie des gens.


PolyLoop | Polytechnique Montréal
Représenté par brieuc mouen-makoua , Génie mécanique

PolyLoop est une équipe étudiante de Polytechnique Montréal qui a pour but de développer et de construire une capsule Hyperloop afin de participer à des compétitions nationales et internationales. PolyLoop est la première et la seule équipe au Québec qui développe cette technologie. Depuis janvier 2020, PolyLoop permet à ses membres de développer leurs compétences techniques tout en les amenant à changer le monde des transports.

​La technologie Hyperloop, proposée en 2013 par Elon Musk, est un nouveau type de transport utilisant un système de lévitation magnétique propulsé par induction linéaire, le tout dans un tube dépressurisé. Ce système permet de réduire la friction au maximum et donc d’atteindre des vitesses impressionnantes.

À propos de Brieuc : Je suis passionné par l’innovation dans les transports et fasciné par Elon Musk, je voudrai travailler pour lui un jour que ce soit dans Tesla ou SpaceX. Le milieu de l’entreprenariat est également quelque chose qui m’intéresse plus tard.