Le CIFQ accueille favorablement la stratégie de développement de l’industrie québécoise des produits forestiers

juin 21, 2018 9:13 am Publié par Marilyn Remillard Catégorisé dans:

QUÉBEC, le 18 juin 2018 – Le Conseil de l’industrie forestière du Québec (CIFQ) salue l’annonce du lancement de la stratégie de développement de l’industrie québécoise des produits forestiers. Annoncée par le gouvernement du Québec, cette stratégie a pour thème « Les produits forestiers, une richesse à cultiver» et comporte cinq principaux axes soit :

  • L’innovation ;
  • La modernisation et l’amélioration des équipements et des procédés ;
  • La réglementation et les politiques publiques ;
  • L’environnement d’affaires ;
  • Les marchés.

« Cette stratégie est le fruit du travail de concertation des différents acteurs du secteur forestier dans le cadre du Forum Innovation Bois. Les mesures annoncées par le gouvernement vont permettre de soutenir le secteur forestier comme acteur clé dans la lutte aux changements climatiques ainsi que comme joueur important du développement économique du Québec et de ses régions » souligne M. Lebel, président-directeur général du Conseil de l’industrie forestière du Québec.

Rappelons que l’idée de cette stratégie est née lors du Forum innovation bois, qui a eu lieu en octobre 2016 et pendant lequel l’ensemble des acteurs du secteur forestier se sont réunis afin de définir une vision commune pour l’avenir du secteur. Ce forum a ensuite fait place au Plan de travail Innovation bois, comprenant une quarantaine de mesures pour soutenir l’innovation, la transformation et la modernisation du secteur forestier.

À propos du CIFQ

Le Conseil est le porte-parole de l’industrie forestière du Québec. Le CIFQ compte plus de 200 membres. L’industrie forestière québécoise génère un chiffre d’affaires de 18 milliards $ chaque année, soit près de 2,6 milliards $ en salaires et avantages sociaux, dont près de 1,5 milliard $ est retourné aux gouvernements sous forme de taxes et d’impôts payés par les entreprises et les travailleurs.

Source : Conseil de l’industrie forestière du Québec